Lors de ce stage, nous aborderons le dessin d’observation et créerons des planches d’inspirations. Le rendu final sera un concentré de vos meilleurs travaux vous permettant de repartir avec une planche aboutie et esthétique.
Découvrez l’univers d’un décorateur ou architecte d’intérieur et créez une pièce qui vous ressemble. Planche mobilier, moodboard et dessin de perspective sont au rendez-vous, Vous partirez de la séance avec un projet qui vous donnera plein d’idées pour votre aménagement intérieur.
Un des plus grands artistes peintre anglais Lucien Freud toute sa vie a dessiné.
Il a dessiné d’une façon très graphique, linéaire de magnifiques portraits, autoportraits et aussi ses chiens.
Il a tout simplement dessiné le monde qui l’entourait et qu’il aimait tant.
Il a fait évoluer son sujet de prédilection le portrait d’une manière remarquable.
Et nous pendants ce week-end de mai, nous allons nous concentrer sur ces 3 sujets: animaux, portrait de quelqu’un de proche et autoportrait.
Il s’agit d’accompagner dans la durée, en pratique tout comme en théorie, une démarche, une recherche. L’activité de la peinture n’est pas exclusive ; les matériaux et disciplines sont ouverts, ainsi que leur mélange.
C’est qu’à force de focaliser, on s’hypnotise au point de ne plus voir ce qu’il y a sous son nez. L’esprit critique est saturé de ressentis, et les détails prennent le dessus sur le global… A trop regarder de près, on en oublie l’ensemble. A trop se fixer sur l’idée première, on ne voit pas forcément ce qui a pu en émerger de novateur, et peut-être de plus intéressant…
Il est aussi question, ici, de faire évoluer son point de vue, de parvenir parfois à changer d’angle d’approche au fur et à mesure que l’objet trouve et prend sa forme…
Il s’agit, en somme, de prendre du recul
Car prendre du recul, c’est prendre de l’élan…
Il s’agit d’accompagner dans la durée, en pratique tout comme en théorie, une démarche, une recherche. L’activité de la peinture n’est pas exclusive ; les matériaux et disciplines sont ouverts, ainsi que leur mélange.
C’est qu’à force de focaliser, on s’hypnotise au point de ne plus voir ce qu’il y a sous son nez. L’esprit critique est saturé de ressentis, et les détails prennent le dessus sur le global… A trop regarder de près, on en oublie l’ensemble. A trop se fixer sur l’idée première, on ne voit pas forcément ce qui a pu en émerger de novateur, et peut-être de plus intéressant…
Il est aussi question, ici, de faire évoluer son point de vue, de parvenir parfois à changer d’angle d’approche au fur et à mesure que l’objet trouve et prend sa forme…
Il s’agit, en somme, de prendre du recul
Car prendre du recul, c’est prendre de l’élan…